J'avais, sans doute, assez vte, compris que je ne comprenais rien à la façon, ni à la manière.  Et pourtant, de chemins en halages, de pas en pis, les départs ne se sont-île pas taris?
Donc, nous en sommes à l'épisode, où l'on attend la suite. Chaque épisode, à une suite, on parle de séries. 
Moi, je n'ai rien sérié, et je suis à la case déport.
Quelqu'un a-t-il vu mon ciré?

Le noir.

Ouvrons les yeux, ne sommes-nous pas entachés de l'universel?  De ces pas standards?
Mais déjà ces mots mal écrits ne sont-ils pas la preuve que notre force n'est que faiblesse?
Nos âmes ne sont-elles pas de moules fritent?

Allez, allons, gardons, pècheurs, un oeil sur nos traces, elles éclairent le chemin qui reste à faire.

Moi, de toute faàon, j'avance. Ou je me le fais croire.

Les demandes se sont taries, sans réponse, he, tu veux faire quoi?

Pourtant de futiles questions utiles, du genre :

Pourquoi c'est fini quand il n'y en a plus?
C'est quoi des hommages co-latéraux?
S'il y en avait, je me demanderais pas pourquoi il faut courrir après, n'est-ce pas?
Si les tympans sont crevés, pourquoi ne se reposent-ils pas?
Notre train de vie arrive en gare, qui en descend?
Quand serons-nous de retour au point de départ?
Les vents sont-ils plus forts ou s'essoufflent-ils?
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Moi, je me dis, que les questions ne sont que des réponses en attente.
Et toi?